Millenium bis.

Publié le par Lectaritude et zôtres critures



      « Les hommes qui n'aimaient pas les femmes »
        Stieg Larsson
        Suède
        Roman
        Actes sud
        Juin 2006

  «««««

 
 
 
 

En complément de la chronique déjà publiée dans ces colonnes, par ma « blogocataire » ... (ici) à  laquelle je vous renvoi pour de plus amples développement, je ne résiste pas à vous donner mon sentiment, et juste ça !

 

D'aucun vous dirons que je goute le genre avec modération, quelques Vargas, quelques Christon, quelques Clancy... Point trop n'en faut, ne risquons pas l'overdose !

D'aucun vous dirons encore, que je n'aime pas me faire imposer mes lectures par le compteur des tirages dont la presse se fait comptable, j'avais dégusté avec modération d'ailleurs, les « Dan brownoiseries » autour du divin Léonard, bien après que l'engouement populaire ne soit retombé.

 

C'est dire si je n'étais pas « mindé » pour engloutir derechef la trilogie Millenium !

 

Que de néologismes faciles, de contractions impertinentes et d'anglicismes ceints de guillemets, pour vous dire qu'il est des insistances auxquelles on ne résiste pas ! Ca dépend évidement de la crédibilité de « l'insisteur » ! Et ma « coloc » est une coriace dans l'insistance, mais reconnaissons humblement qu'elle a souvent ... heu ... toujours, raison !

 

Aussi me résolus-je, n'ayant guère le gout de la résistance à l'insistance, donc, à acquérir la série tant acclamée, bien avant que le format des ouvrages susmentionnés ne permette le stockage dans une poche.

 

J'avais bien évidement en tête les recommandations particulières, distillées en amont de ma lecture, pour prévenir toute lassitude prématurée : « Il faut tenir les 299 premières pages, ca devient intéressant après ». 299 ou 330 ? Je ne sais plus !

 

Enfin bref, soyons synthétique puisqu'il ne s'agit que d'un avis bref justement...

 

A l'aube de boucler le premier, il doit me rester quelques pages, que puis-je en dire :

- Que le roman s'emballe effectivement vers la 300ème page, mais qu'il est plaisant bien avant.

- Que cela fait bien longtemps que je ne me suis fait happer ainsi par un roman de cette nature, mes nuits déjà pas bien longues s'en sont trouvées encore écourtées.

- Que ma foi, l'enthousiasme populaire est, contrairement à l'engouement « Da Vinci », parfaitement justifié, et que donc : Que voilà un bon roman !

- Que le style n'est pas impérissable, mais qu'en l'occurrence en s'en bat le coquillard, tant l'histoire est prenante.

- Que je m'en vais aussi sec engloutir les suivants ... dont je vous donnerai, peut être, ultérieurement des nouvelles !

 

Voilà, ca c'est synthétique au moins.

Publié dans Romans étrangers

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article